Les rêves : comme ils ont choisi de ré-intégrer le monde des songes, je peux seulement dire qu’ils m’ont fait très bonne impression et que je me suis réveillée avec le Va pensiero de Verdi en tête (la version où toute la foule se lève pour chanter avec le choeur).

Aujourd’hui et demain : deux jours en atelier à tenter de créer une structure qui “marche” pour L’Horloger des Brumes.

Je mets donc Aristophane de côté jusqu’à ce soir où je le retrouverai dans Les Cavaliers opposant, non pas le Bien contre le Mal, mais à savoir lequel de deux pourris parviendra le mieux à se mettre le peuple dans la poche. Le plus pourri des deux l’emporte (en attendant un plus pourri encore, je suppose.) Le tout est terriblement contemporain. (J’en suis au moment où les deux pourris font assaut d’oracles. De nos jours, is se battraient à savoir lequel des deux a les meilleurs sondages.)

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Dreams : since they chose to return to the world of same, I can only say they made a fine impression on me and that I woke up with Verdi’s Va pensiero playing in my head (the version in which the whole audience rises to sing along with the chorists.)

Today and tomorrow : two days in a workshop attempting to create a working structure for the Watchmaker.

So I’m setting aside Aristophanes until tonight when I will join him again in Horsemen, not opposing Good against Evil, but seeing which of two rotten sods will best manage to hoodwink the people. The most rotten of the two wins (until a yet more rotten one shows up, I suppose.)The whole thing feels terribly current (In the play, I’m at the point where the two corrupt ones are comparing their omens; nowadays, they’d be battling over who has the best surveys. )