“Il est parti vers le ciel, embrassant dans un dernier regard l’immensité du monde et l’infini du temps, tel un point qui s’éloigne, s’amenuise et disparaît. Peut-être me laissait-il ainsi ses yeux et me rendait-il à la vie en quittant ce monde intransigeant désormais privé de lumière. VIE. N’est-ce pas en vertu de ce festival de lettres que nous avons survécu?”
Asli Erdogan, Le bâtiment de pierre, récit traduit du truc par Jean Descat, Actes Sud 2013.