” Le matin, j’offre de naïfs sacrifices. Au soleil, j’offre les rêves de la nuit. Sur la pierre du réel je les consume. La netteté des corps, la rigueur de leurs ombres, la plénitude de la vue.
Je brûle mes ennemis et mes ennuis. J’honore les belles idées ; je me dépouille/lave/en esprit de mes erreurs ; je juge le jour d’hier, je me demande le pouvoir de faire toute chose intéressante.”
Paul Valéry, IV, 601 (1910) dans Poésie perdue, Les poèmes en prose des Cahiers, nrf, Poésie/Gallimard, 2000
TRES BONNE POESIE
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Je crois que ce livre te plairait beaucoup. Il est du poète Paul Valéry et s’intitule Poésie perdue les poèmes en prose des Cahiers. Ce sont des choses qu’il a écrites entre 1898 et 1944. Tu pourras le consulter chez moi, si tu veux.
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OK JIRAI LE VOIR
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