Les mots “lâcher prise” en en boucles (je ne sais pas à quel sujet); puis la voiture roulait sur un pont rempli d’ordures, certaines parties en étaient impassables, il y était question aussi de livres à publier.

(La photo, prise hier de l’albizia en fleurs derrière chez moi, parce que, franchement, la beauté, juste là à s’en crever les yeux, pendant que les humains déconnent comme les derniers des dinosaures… Dernier bout d’infos lu hier soir : le message obséquieux du dirigeant de l’OTAN à l’endroit du président américain. Plus les élus représentent la fine fleur de l’imbécilité humaine, plus la veulerie à leur endroit se répand devant eux comme un tapis, assez pour nous y noyer tous. Ça se tortille avec toute l’énergie d’un unicellulaire dans une goutte d’eau. Salut à Toi, Roi des Idiots, ne lâche pas tes voyous contre moi !)

(Oh, mais l’idiot fut “élu démocratiquement”, nous dit-on. Premièrement, je n’en crois pas un mot et, de plus, à voir comment la plupart de ceux de “l’autre” partie ont été tout aussi achetés par le big tech, le big pharma et le big commerce finançant leurs campagnes, et tremblent à l’idée d’être lâchés par leurs financeurs, qu’y a-t-il de démocratique dans ce processus électoral, je vous le demande.) (Et tout aussi séduits par les merveilles de la cryptomonnaie, devrais-je ajouter.)

Allez. Pour aujourd’hui, gérer le bordel intégral sur ma table de travail sera peut-être un exploit à ma mesure. Et je dis bien “peut-être”. Pour le reste, je peux geindre et gémir tout ce que je veux, les animateurs du jeu télévisé s’en fichent éperdument. Pain et jeux pour certains, mort et destruction pour d’autres. Faites vos jeux !

*

The words “letting go”, over and over again (without specifying what about); then the car was on a bridge filled with garbage, some parts of it were impassable because of it, there was also talk of books to be published.)

(I grabbed the photo of the albizia in bloom in my yard yesterday because, frankly, beauty right there enough to pierce your eyes, while humans go nuts like the last of the dinosaurs…Last bit of news read last night: the obsequious message from the leader of NATO to the American president. The more the elected ones represent the finest flower of human stupidity, the greater cowardice spreads like a carpet before them, enough for us all to be drowned in. Squirming as vigorously as unicellular beings in a drop of water. Hail to Thee, King of the Idiots, don’t send your goons against me !)

(Oh, but the idiot was “democratically elected”, we’re told. For one, I don’t believe a word of it and, for another, seeing how most of those from the “other” party were just as bought up by big tech and big pharma and big commerce, and quake at the thought of being dropped by their sponsors, what’s democratic of the electoral process, may I ask.) (Just as seduced by the marvels of cryptocurrency too, I might add.)

Onward. For today, managing the total pile-up on my work table may be a feat within my capabilities. And I do mean maybe. As for the rest, I can wail and moan all I want, the TV game show hosts could not care less. Bread and games for some, death and destruction for others. Place your bets!