Rêves : désespéré par l’injustice d’une décision administrative rendue contre lui, un homme décide de s’en prendre au gouvernement, sans mesurer la disproportion entre ses moyens et ceux de l’Etat, un fonctionnaire est chargé de régler le problème, je m’éveille avant de savoir s’il suivra ses directives (il y a quelqu’un du nom de Yves, mais je ne sais pas s’il s’agit de l’homme désespéré ou du fonctionnaire); puis je suis dans un hôtel avec ma fille, impossible d’en sortir, des manifestations monstres se déroulent contre Israël, les foules sont infranchissables, nous attendons entourées de gens mornes, je constate que l’hôtel déverse la merde de ses clients dans un cours d’eau de montagne, un homme a réussi à sortir acheter une pelle et monte les escaliers d’un pas déterminé.*

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Hier, après une conversation avec son oncle et son père, ma fille a pris la décision de se rendre voir son père; elle fait affaire avec une agence juive à Montréal, El Al n’affichant pas ses vols sur les plateformes en ligne (son oncle recommande un vol vers Athènes avec transfert sur El Al pour le trajet Athènes-Tel Aviv. Pour ma part, grande difficulté à m’endormir, en me répétant “elle a 55 ans, ses décisions lui appartiennent…” en guise de mantra.

*Pour ce qui est des questions administratives, après le contact de ce matin avec ma fille, la coupe déborde en ce qui a trait aux services civils israéliens, ce qui n’a rien de surprenant, et les vols sont archi-pleins. Histoire en mode série feuilleton.

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Parlant de séries feuilleton, dans la longue descente vers le sommeil hier soir, j’ai pris conscience du fait que L’Horloger des Brumes se devait d’être construit comme des nouvelles distincts, même si elles sont inter-reliées, chacune se déroulant dans son temps.

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Poursuite des travaux pratiques ici: des amis arrivent ce matin donner un coup de main pour débarrasser les encombrants dans la cour. Les drames et tragédies hors de mon contrôle se poursuivent sans mon regard, je n’en doute aucunemen.

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Dreams: rendered desperate by the injustice of an administrative decision against him, a man decides to take on the government, without measuring the disproportion between his personal means and those of the State, a civil servant is charged with solving the problem, I wake up before knowing if he will follow instructions (someone by the name of Yves in the dream, but I don’t know if it was that of the desperate man or of the civil servant); then, I am in a hotel with my daughter, stepping outside is impossible, monster demonstrations against Israel are taking place, the crowds form a solid mass, we wait surrounded by glum people, I realize the hotel is dumping its customers’ shit into a mountain stream, a man has managed to go out to buy a shovel and is climbing the stairs in a resolute manner.*

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Yesterday, following a conversation with her uncle and her father, my daughter took the decision to go see her father; she’s dealing with a Jewish agency in Montreal, El Al not posting its flights online (her uncle recommend a flight to Athens with a transfer to El Al for the Athens-Tel Aviv portion. A lot of trouble falling asleep last night, on my part, repeating as my mantra “she’s 55 years old, her decision are hers to take…”

* As for administrative glitches, the cup overfloweth at Israeli civilian services, which is none too surprising, and flights are booked solid. Story evolving like a mini-series.

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Speaking of which (mini-series), in the long haul toward sleep last night, I clearly saw that L’Horloger had to consist of separate – if linked – stories, each one taking place in its own time frame.

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Ongoing practical stuff over here: friends are coming over to lend a hand in clearing out accumulated stuff in the yard. Dramas and tragedies beyond my control are ongoing without my look at them, I don’t doubt it for a second.