Rêves: Une femme me faisait cadeau d’un collier en fils métalliques noirs tressés, avec quatre larges billes de couleur dont le coloris à dominance verte se composait de lamelles comme celles d’un iris humain; puis je rangeais les livres dans la bibliothèque, cherchant encore une fois, une meilleure façon de les disposer.

(Mais je sais bien qu’il s’agissait surtout des questions que je me pose quant à l’organisation des divers éléments dans L’Horloger des Brumes.)

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Au réveil, encore et toujours, la certitude que l’élection présidentielle américaine verra surgir de fausses accusations de bourrage des urnes en faveur de Kamala Harris et/ou de destruction de bulletins de vote en faveur de Trump. Après tout, l’équipe de ce dernier bénéficie des services d’experts en matière de truquage d’élections. Quand on en est à prétendre que les Démocrates dirigent les tornades sur les districts à majorité d’électeurs Republican, il ne faut pas s’attendre à ce que le 5 novembre voit le triomphe du fair-play.

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J’étais invitée hier soir au concert de la fille d’une amie mais j’ai estimé que mes éternuements violents en rafale n’y seraient pas sympas. J’ai préféré rester chez moi et relire les trois premiers chapitres du Maître et Marguerite – non pas que L’Horloger des Brumes y ressemble de quelque façon que ce soit, mais toujours sur cette question d’organisation dans l’exposé des éléments d’une histoire compliquée, par définition.

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Et une autre amie m’a envoyé la photo de son nouveau petit-fils, âgé de quelques heures seulement. Le plus adorable petit bout imaginable avec, déjà, une suggestion de canaillerie dans l’expression. Je n’ai pas pu faire autrement que de me demander ce que lui (et les autres naissant ces jours-ci) auront à gérer quand ils seront grands.

(Et je n’ai même pas regardé les informations du jour encore, alors que l’ingénieur des collines fait sa première tournée matinale dans la forêt environnante d’où le chat apparaît, puis disparaît à nouveau.)

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Dreams: a woman gifted me with a necklace made out of woven black metallic threads holding four large colored beads, the dominant green color resulting from thin slices like those in the human iris; then, I was putting books away on the bookshelves, searching yet again for a better way to assemble them.

(But I know full well this was maingly about the questions I’m putting to myself concerning the organization of the various elements in L’Horloger des Brumes.)

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Upon waking, still and again, the certainty that the American presidential election will see a slew of false accusations of ballot stuffing favoring Kamala Harris and/or destruction of ballots favoring Trump. After all, his team benefits from the services of experts when it comes to fake elections. When you reach the point of claiming that Democrats are directing tornadoes toward districts showing majorities of Republican electors, one can’t expect November 5th to be a triumph in terms of fair-play.

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Last night, I was invited to a concert by a friend’s daughter but I considered that my violent staccato sneezes would not be copacetic, and stayed home reading the first three chapters in The Master and Margarita – not that L’Horloger des Brumes is anything like it but always on this matter of organizing the presentation of elements in a story that is complicated by definition.

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And another friend sent me a picture of her new grandson, a few hours into the world. The cutest munchkin imaginable with already a twitch of roguishness in his expression. I couldn’t help wondering what he (and others being born these days) will have to deal with, once they are grown.

(And I haven’t even looked at the daily news yet, while the hillside engineer makes his first round of early-morning observations in the surrounding forest out of which the cat appears, and disappears again.)