Rêves : 4h55 je m’éveille d’un cauchemar, les autres rêves oubliés: j’avais perdu ma fille, je la cherchais partout sans la retrouver. Nous visitions un centre social ensemble. On me disait qu’il y avait un chèque qui m’attendait dans une enveloppe avec un paquet d’autres pour d’autres personnes. Pendant que je cherchais, elle partait avec un groupe visiter une nouvelle installation; comme je ne trouvais pas de chèque à mon nom, je remettais les autres dans l’enveloppe et je partais la rejoindre. Il fallait traverser un parc, puis la nouvelle installation était dans une ancienne usine transformée en lieu artistique à partir de matières recyclées. Ma fille n’y était pas, personne se souvenait l’avoir vue, des inconnus tâtait mon jean en me disant de ne pas oublier de le donner à recycler,, pendant que je cherchais, mon manteau disparaissait. Je ressortais, il faisait nuit, je cherchais avec l’espoir qu’elle soit retournée à notre point de départ tout en sachant que je me disais ça pour m’encourager; dans le parc, la montée était boueuse, des vaches la dévalaient dans ma direction, des hommes jouaient une sorte de tennis dans les buissons, je montais en glissant dans la boue et je savais que je ne la retrouverais jamais.

Plusieurs minutes à réintégrer ici, maintenant, après mon réveil.

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Un blog du Times of Israel démontrant les contradictions de fond entre ce que Netanyahou prétendait au sujet de Hamas dans son autobiographie publiée en 2022 (gros best-seller sur la liste du New York Times) et ce qu’il affirme aujourd’hui. Tout ce qu’il prétendait éviter en 2022 est en train d’advenir et le piège qu’il disait vouloir éviter alors, est celui dans lequel il a bel et bien plongé son pays depuis. Le blogueur Martin Kramer de demander : “Les dirigeants du Hamas qui ont lu les passages pertinents de ses mémoires en 2022 ont-ils conclu que Netanyahou, s’il revenait au pouvoir, serait préoccupé par d’autres questions ? Ont-ils cru que tant que Netanyahou gouvernerait, ils jouiraient d’une immunité contre la destruction ? Cette croyance les a-t-elle encouragés à mettre en œuvre leur plan, en supposant qu’il s’abstiendrait de les renverser ? Cette simple possibilité est un avertissement pour tous les dirigeants : il ne faut jamais publier ses pensées stratégiques les plus intimes avant de se retirer pour de bon.”

Entretemps, le mal est fait et l’enlisement empire de jour en jour.

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Allez. Aujourd’hui, Yousra m’amène sa fille ce matin pour voir si je peux l’aider avec le français qui fait son malheur au lycée; cet après-midi, le voisin m’amène une petite chatoune à “tester” à savoir si j’y suis allergique ou non. L’entente étant qu’il la reprendra chez lui si le test n’est pas un succès.

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Et quelque chose au niveau de la mélodie, du rythme, des inflexions de la langue (que je ne connais), du contrastes entre la voix de la jeune fille et celle d’Idir. En boucle qui me ramène sans cesse dans le bienheureux univers du récit.

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Dreams : 4h55 I awaken from a nightmare, the other dreams forgotten: I had lost my daughter, I was searching everywhere without finding her. We were visiting a social center together. I was told there was a cheque waiting for me in an envelop with a whole bunch of others for other people. While I was looking, she left with a group to visit a new installation; since I couldn’t find a cheque to my name, I put all the others back in the envelop and went to meet up with her. I had to cross through a park, to reach the new installation in a renovated old factory transofrmed into an artistic place using recycled materials. My daughter wasn’t there, no one remembered seeing her, strangers were touching my jeans and saying I mustn’t forget to hand it over for recycling, while I was searching, my coat also disappeared. I stepped out, it was night time, I searched with the hhope she might have returned to a starting point while knowing I was saying this to myself to encourage myself; in the park, the climb was muddy, cows were running down in my direction, some men were playing a kind of tennis in the bushes , I was climbing and sliding in the mud, and I knew I would never find her again.

Upon waking, several minutes go by before I re-integrate the here and now.

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A Times of Israel blog shows up the basic contradictions between what Netanyahu claimed about Hamas in his autobiography published in 2022 (a big best-seller on the New York Times list) and what he now maintains. Everything he said he wished to avoid in 2022 is now occurring and the trap he said he wished to avoid then is the very one in which he has plunged his country since. Blogger Martin Kramer asks: “Did Hamas leaders who read the relevant passages of his memoir in 2022 conclude that Netanyahu, should he return to power, would be preoccupied elsewhere? Did they believe that as long as Netanyahu ruled, they enjoyed immunity from destruction? And did this belief embolden them to implement their plan, assuming he would stop short of toppling them? The mere possibility serves as a warning to all leaders: one should never publish one’s most closely held strategic thoughts before stepping down for good.”

Meanwhile, the harm is done and the bog keeps getting deeper every day.

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So, onward. This morning, Yousra is bringing over her daughter to see if I can be of some help with the French driving her nuts at school. This afternoon, a neighbor is bringing over a little kitten as a “test” to see if I’m allergic to it or not. The deal being he will take her back should the test not be successful.

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And something about the melody, the rythm, the inflections of a language (I do not understand), the contrasts between the voice of the young girl and that of Idir. Over and over again, bringing me back constantly to the blessed universe of the tale.