13 septembre 2023

Ah, comme il s’amuse, l’immonde petit Poutine. “Comme ils disaient à l’époque soviétique,” déclare-t-il, le visage bestial de l’impérialisme américain, le sourire bestial.” Venant d’un homme qui fait emprisonner ou tuer ses adversaires et dirige une entreprise de corruption sans pareil, il y a matière à se demander comment pareils rebuts s’élèvent toujours au-dessus des autres. C’est bien ce que fait l’écume lorsqu’on prépare un bouillon, mais alors, on s’en débarasse; on ne jette pas le bouillon pour vénérer l’écume.

Mais, pas de souci: à la parodie du monde politique dans lequel nous vivons, se rajoute le lancement d’un impeachment contre le président Biden par le Republican Party complètement noyauté par des nullités inqualifiables. On parle d’eux, on les flatte, on finance leurs campagnes, au bal des pourris, les imbéciles sont rois.

Je passe sur les autres éléments de la farce, un peu partout à travers le monde. Ouvrir la page des informations, le matin, ça donne la version tragique du théâtre de l’absurde dans l’illustration ci-haut.

Si seulement je pouvais retrouver mon équilibre – en écriture, s’entend, sur la poutre d’équilibre, ça va, avancer, reculer, tourner, je laisse les triples saltos à d’autres.

En principe, dans mon petit morceau de l’ensemble, les Contes d’Exil seront prêts chez l’imprimeur aujourd’hui et je pourrai prendre le bus avec mon caddy pour récupérer mes vingt copies demain. Pour l’heure : sortir de cette mouise dans laquelle j’ai l’impression de patauger depuis des jours. Malgré les antihistaminiques, les allergies sont de retour, je m’en arracherais les yeux tellement ils me démangent.

*

Oh, such fun he’s having, the repulsive little Putin. “As they said back in Soviet times, he declared, the bestial visage of American imperialism, the bestial grin.” Coming from the man who has his political adversaries jailed or killed and heads a corruption business without peer, you have to wonder how such worthless scum keep rising to the top. Which is what scum does when boiling broth, but you then get rid of it; you don’t throw out the broth to worship the scum.

But, no problem; to the parody of the political world in which we live, we now add the launching of an impeachment against president Biden by a Republican Party totally controlled by unspeakable nonentities. They are talked about, they are flattered, their campaigns get funded, at the Ball of the Rotten, the dummies are kings.

I’ll pass on the other elements of the farce playing out a bit everywhere in the world. Opening the page on the news in the morning provides the tragic version of the theatre of the absurd in the illustration above.

If only I could regain my balance – writing-wise, I mean, on the balance beam, I’m fine, forward, backward, turning, I leave triple saltos to others.

In principle in my small slice of life, Tales of Exile will be ready at the printer’s tomorrow and I’ll take the bus with my pushcart to recover my twenty copies. For the time being: finding my way out of the bind in which I’ve been tied up for days. Despite antihistamines, allergies are back, the itching so bad I feel like ripping my eyes out.

Leave a comment