J’aime bien les chiens et les chats. Enfin, pas tous: comme pour les humains, il y en a des sympas et d’autres, pas du tout. Évidemment, je n’ai aucune objection à ce que la propagande pro-ukrainienne envahisse des plate-formes comme facebook avec des images de jolies et jeunes militaires et de beaux jeunes soldats avec leur toutou et/ou leur chaton. Certaines des images sont réellement touchantes. Il n’empêche qu’au bout d’un certain temps, ça devient aussi un marqueur d’une certaine fragilité dans le soutien, dès que des images plus dures se présentent, accompagnées d’information plus préoccupantes sur une zone de combat où ni les uniformes, ni les hommes, ni les femmes, ni leurs animaux de compagnie sont autrement que sales, épuisés, dans le meilleur des cas, morts ou blessés, sinon.

En tout état de cause, la guerre, c’est dégueulasse. Si des images de jeunes gens et de leurs animaux de compagnie propres et en bonne santé servent à livrer ce message, d’accord. Mais, dans mon cas, l’étendue de la dévastation envoie un signal beaucoup plus puissant.

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Pour l’heure, j’ai surtout à comprendre ce que le rêve me racontait concernant Là où les enfants s’amusent. Et le fait, qu’en pleine nuit, j’ai été réveillé par un message très clair qu’il me fallait trouver le record de vitesse en patinage sur glace (demande expresse du frère cadet parmi les trois frères dans le récit.)

(Note à l’intention de Vini : Ce record était de 93,3 km/h en 2019. Il fut battu en 2022 à 103 km/h.)

Utilité de cette information ? Aucune, que je sache, sauf pour le personnage en question, je suppose. Pour l’heure, je poursuis la traduction et la révision sans lire au-delà du passage où je me trouve, en adaptant et modifiant le récit au fur et à mesure.

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Et la nouvelle Concours de circonstances m’est revenue avec des indications de corrections; bref, j’ai de quoi m’occuper.

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I like cats and dogs. Well, not all of them: just like humans, some are really nice and others, not at all. Of course, I have nothing against pro-Ukrainian propaganda flooding platforms such as facebook with images of pretty young female soldiers and handsome young male soldiers with their favorite dog and/or kitten. Some of those images are truly moving. Nonetheless, after a while, it becomes the indicator of a certain fragility in the support, as soon as the harsher images show up, accompanied by preoccupying information in combat zones where neither the uniforms, the men, the women or their pets are other than dirty and exhausted, in the best of cases, and dead or wounded otherwise.

Whatever the circumstances, war is disgusting. If the images of clean and healthy youngsters and their pets serve to drive that message home, OK. But for me, the extent of the devastation sends a much more powerful message.

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For now, my main objective is to understand what the dream was telling me about Where the children play. And the fact that, in the middle of the night, I was awakened by a very clear message that I had to find what the speed record was in ice skating (this being a special request from the second of the three brothers in the story.)

(Note to Vini :The record was of 93.3 km/hr in 2019. Broken in 2022 at 103 km/h).

The usefulness of this information ? None, to my knowledge, except for said character, I suppose. Meanwhile, I go on translating and revising without reading ahead in the story, shaping and modifying as I go along.

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And the short story Concours de circonstances has come back with indications for corrections; in short, I have enough to keep me busy.