
Non, c’est pas moi qui le dit, c’est Maria, (la narratrice de ce que j’écris en ce moment). Je la cite: “les forts en gueule sont comme des tonneaux : plus ils sont vides, plus ils résonnent fort.” Je crois qu’elle fait référence à ceux qui, dans un pays, crient au fascisme pendant qu’ailleurs d’autres crient au communisme…concernant les mêmes mesures sanitaires, dans les deux cas (et les mêmes agitateurs en coulisse pour qui le chaos est une bénédiction, et plus on est de fous, plus on s’amuse. “Ô l’accroché muet !” comme l’écrivait une compagne de classe qui n’avait pas très bien compris Le Lac de Lamartine – du coup, ça sera intraduisible en anglais, ça. Stet quand même avec mes excuses aux lecteurs/lectrices de langue anglaise).
Cela dit, et comme la mode est aux excuses plus ou moins sincères, je présente aussi toutes mes excuses les plus abjectes à mes lecteurs/lectrices loyaux et fidèles ou non: hier, j’ai affirmé que la table de Monsieur Poutine mesurait trois mètres. Pas du tout. Une lecture attentive d’un autre article m’a révélé que la table en question mesure cinq mètres. Dont acte, avec mes excuses à la table itou.
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Sur ce, je retourne au monde de la fiction, mais je note tout de même au passage un soleil radieux à ma fenêtre, et le fait qu’une tourterelle dite triste (mais qu’est-ce qu’on en sait?) s’est fait entendre ce matin..
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No I’m not the one who said it, these are Maria’s words(she’s the narrator in what I’m writing at the moment.) I quote her: “loudmouths are like barrels: the emptier they are, the louder they resound.” I think she’s referring to those who, in one country, cry out about fascism while elsewhere others cry out about communism…concerning the very same sanitary measures, in both cases (and with the same back-room agitators for whom chaos is a blessing, the crazier, the better. This is followed by an untranslatable word play in French. My apologies to English readers).
That said, and since the fashion is to more or less sincere apologies, I hereby offer my most abject apologies also to my readers, be they loyal and faithful or not: yesterday, I claimed that Mister Putin’s table was three meters long. Not at all. A careful reading of another article revealed that the table in question mesures five meters. Duly noted with my apologies to the table also.
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That said, back to the world of fiction I go but I note in passing the radiant sunshine pouring through the window and the fact a dove we describe as mourning (but what do we know about it?) made itself heard this morning..