L’illustration peut se lire, soit comme une image de l’effet du réchauffement climatique sur l’agriculture, soit comme une métaphore de nos vaillants chefs d’Etat. Ou, pourquoi pas, comme un peu des deux. (Dans ce cas, on peut s’amuser à attribuer des noms de leaders aux diverses tomates ratées.)

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C’est avec les mots qui suivent que l’économiste Maxime Combes résume son bilan de la Cop26 sur le blog qu’il publie sur Médiapart. Ses « moins mauvais élèves ne sont que les meilleurs des cancres d’une classe de cancres…» dit-il.

L’essentiel de son propos tient dans la phrase suivante: « Alors qu’il faudrait réduire les émissions mondiales de gaz à effet de serre de 45% d’ici à 2030, les Etats nous promettent de battre un record d’émissions chaque année, oui CHAQUE ANNEE, d’ici à 2030 (+14% sur la période).     La différence entre -45% et + 14% est un crime climatique. Un crime commis en toute connaissance de cause. »

Et basta bien sûr des engagements des nations à haut profil de pollution envers les pays dits ‘pauvres’ et qui le sont à force de’être exploitées. Les valeureux ont mieux à faire alors qu’ils sont tellement, tellement occupés à créer le plus gros fouillis dont ils sont capables.

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Ma présence sur ordi sera de courte durée aujourd’hui, entre atelier d’écriture et protocole préparatoire à une chirurgie vendredi.

Mais la plume demeure active, sur papier.

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The illustration above can be seen either as an image of the effect of climate warming on agriculture or as a metaphore of our valiant world leaders. Or, why not, as both. (In this later case, one can amuse one’s self attributing names of said leaders to the various failed tomatoes.)

With the following words, the economist Maxime Combes summarizes his assessment of Cop26 on the blog he publishes on Médiapart.

The salient feature of his demonstration is contained in the following sentence: “Whereas there is need to reduce global emissions of greenhouse-effect gases by 45% by 2030, the States promise us they will beat a record of emissions each year, yes, EACH YEAR, from now until 2030 (+14% over the period.) The difference beween -45% and +14% is a climate crime. A crime committed in full knowledge of the facts.”

And to hell of course with commitments made by nations with high pollution profiles toward countries described as “poor” and that are so from being exploited. Our valiant leaders have better things to do when they are so, so busy making the biggest mess of things that they possibly can.

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My computer time will be brief today, what with a writing workshop plus a protocol in preparation of a surgery on Friday.

But the pen stays active, on paper.