(Pourquoi ? Parce que nous, nous sommes sur les feuilles encore saines, en arrière-plan.)
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En visite au Porto Rico après l’ouragan Maria en 2017, Trump lançait des emballages d’essuie-tout à la foule. En visite dans les zones sinistrées par les incendies cette semaine, le président turc, lui, lance…des sacs de thé. C’est vrai que le Lapsang Souchong est délicieux, avec son arômee fumée…pourquoi ne pas en faire autant avec le thé cultivé en Turquie, n’est-ce pas ?
Des arrogants qui se pavanent jusqu’à ce que le gamin s’écrie: “L’empereur est tout nu !”
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Oui, ça grince très fort ici, ce matin. Des histoires de traduction en recherche d’éditeurs, entre autres. D’ennuyeux soucis de santé équivalant à une baisse barométrique, et coups de vent métaphoriques rabattant les voiles.
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Question écriture, des bouts de “Mères” continuent de s’accumuler. Je suppose que les Filles et les Soeurs suivront. Points de vue divergents, tout dépend de la lucarne à travers laquelle on a vue sur le ciel.
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(Why? Because we’re on the leaves that are still healthy, in the background.)
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Visiting Puerto Rico after Hurricane Maria in 2017, Trump threw bags of paper towels at the crowd. When visiting zones sinistered by fire this week, the Turkish president threw…bags of tea. True, Lapsang Souchong is delicious, with that smokey aroma…why not do the same thing with Turkish-grown tea, right?
Arrogant ones, strutting along until the kid yells out: “The Emperor is naked!”
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Yes, a lot of creaking and groaning over here this morning. Problems around a translation in search of a publisher, for one. Boring health concerns similar to a lowering of barometric pressure, and gusts of metaphorical wind slamming down the sails.
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Writing-wise, bits and pieces of “Mothers” go on piling up. I guess, Daughters and Sisters will follow next. Diverging points of view, everything depends on the dormer window through which we catch a view of the sky.
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