
Calico pie,
The little birds fly
Down to the calico-tree:
Their wings were blue
And they sang “Tilly-loo!”
Till away they flew;
And they never came back to me
They never came back
They never came back
They never came back to me!
Calico jam,
The little fish swam
Over the syllabub Sea.
He took off his hat
To the Sole and the Sprat,
And the Willeby-wat
But he never came back to me;
He never came back
He never came back,
He never came back to me.
Calico ban
The little mice ran
To be ready in time for tea
Flippity flup
They drank it all up,
And danced in the cup:
But they never came back to me
They never came back
They never came back
They never came back to me
Calico drum
The grasshoppers come
The butterfly, beetle, and bee,
Over the ground,
Around and round,
With a hop and a bound
But they never came back
They never came back
They never came
They never came back to me.
*
While awaiting better inner vibes, the next up will be: The Nutcrackers and the Sugar tongs
The Nutcrackers sate by a plate on the table;
The Sugar-tongs sate by a plate at his side;
And the Nutcrackers said, “Don’t you wish we were able
Along the blue hills and green meadows to ride?
Must we drag on this stupid existence forever,
So idle and weary, so full of remorse,
While every one else takes his pleasure, and never
Seems happy unless he is riding a horse?
and so on…
*
1ère approximation en français:
Pâté calicot
Les petits oiseaux
Nichaient dans l’arbre-calicot
Leurs ailes étaient bleus
Ils chantaient ‘lore-lieu-lieu’
Puis d’un coup s’envolaient
Vers moi il n’y avait
De retour il n’y avait
De retour il n’y avait
Jamais
Gelée calicot
P’tit poisson dans les eaux
De la Mer de la menthe au sirop
Son chapeau très sérieux
A la sole aux grands yeux
Chaque jour il levait mais
Vers moi il n’y avait
De retour il n’y avait
De retour il n’y avait
Jamais
Quatre-heure Calicot
Au thé les souriceaux
Se précipitaient tous aussitôt
Glou-glou et glou-bu
quand ils avaient tous bu
Dans la tasse ils dansaient mais
Vers moi il n’y avait
De retour il n’y avait
De retour il n’y avai jamais
Tambour calicot
Des sauterelles en troupeau
Papillons abeilles asticots
En rondes éperdues
Sarabandes saugrenues
Ils sautaient s’envolaient
Et parfois s’épiaient mais
De retour il n’y eut
De retour il n’y eut
Vers moi de retour,
Jamais.
*
En attendant de meilleures ondes intérieures, le prochain sera la balade du casse-noisette et de la pince à sucre :
Casse-noisette sagement près de l’assiette assis
Près de la pince à sucre, sagement assise aussi,
De lui dire: l’idée ne te vient-elle jamais
D’ailler explorer prairies et forêts
Devrons-nous demeurer ainsi confinés
Inutiles et lassés, de remords dévorés
Alors que tous se déclarent au comble du bonheur
Sur le dos d’un cheval à galoper sans peur
(et ainsi de suite…)