
En tant qu’expression, s’entend. En français, on parle de la goutte d’eau qui fait déborder le vase; en anglais, il s’agit de la paille qui brise le dos du chameau. Bref, une accumulation de broutilles (ou de gouttes d’eau) dont la dernière est celle de trop.
De toute façon, je ne sais même pas si je serai en ligne suffisamment longtemps pour terminer et publier ce petit mot, puisque le “fournisseur de service” (HA!) s’amuse à bloquer/débloquer/offrir/modifier l’offre en question. Détail additionnel à régler aujourd’hui.
En ce moment, j’envie le loir (voir l’article d’hier. Avec un sommeil aussi profond, théière, pas théière, paille, pas paille, la vie est un ronflement aussi doux qu’un zéphir printanier.
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As an expression, I mean. In French, we talk of the drop of water that causes an overspill; in English, it’s the straw that broke the camel’s back. Briefly stated, an accumulation of nonsensical stuff (or of drops of water), the last one of which is one too many.
In any event, I don’t even know if I will be online long enough to finish and publish this brief word, since the “service provider” (HA!) is playing at blocking/unblocking/offering/modifying said service offer. An additional detail in need of solving today.
Right now, I envy the Doormouse (see yesterday’s blogpost.) Wih a slumber that deep, teapot or no teapot, straw or no straw, life is a snore as soft as a spring breeze.