Too bad tant pis/ tant pis too bad (billet d’humeur):
« Colonisée ! » tonnaient les « Patriotes de la Société Saint-Jean-Baptiste» québécoise lorsque j’osais m’exprimer dans mon autre langue maternelle et même…écrire dans la langue de “l’anglosphère”! Boudu, haro sur la langue de l’ennemi historique! Ah oui, Joseph Papineau est bien mort et la rébellion de 1837 aussi. Quand au patriotisme, moi, vous savez, désolée j’ai déjà donné./ « Speak white ! » the ladies at Eaton’s ordered when I was five and cried and blubbered in French. The thought police comes in all sizes and flavors.I don’t feel obliged to parrot myself so this isn’t a translation of what I wrote in French. Where are all the Eaton ladies now? Gone, long gone.
Pour reprendre la parole célèbre la garde du corps de Pierre-Elliot Trudeau *à la caissière du cinéma ce jour-là : « Two tickets please/ deux billets s’il-vous-plaît. »
*le papa de Justin. Pierre Elliot est celui qui a aimablement offert les Mesures de Guerre au Québec en 1970. Je me souviens?/ Oh yes, I remember.
Eh oui, I am who I am/Je suis qui je suis, et je parle comme je veux/I also write in whatever language I choose . Le seul parti politique qui ne m’ait jamais déçue et qui ait toujours tenu sa principale promesse, c’est le Parti Rhinocéros – celui de l’époque du Dr Jacques Ferron.
Sa principale promesse? “Les membres du Rhino ont également promis de briser chaque promesse (une planche de plateforme qui, selon eux, a été copiée et mise à exécution par les partis traditionnels) et d’exiger immédiatement, s’ils étaient élus, un recompte des votes.”
Allez. Avanti. Kadima. Davaï. Forward et cetera.